Du 13 au 15 novembre derniers, le GART a engagé un cycle d’audition avec les acteurs de la mobilité partagée. Cette dernière – qui se concrétise par l’autopartage, le covoiturage ainsi que les vélos et la micromobilité en libre-service – représente les services de mobilités complémentaires à l’offre de transport collectif et participe à la démotorisation en développant la multimodalité. Au cours de ces dernières années, les autorités organisatrices de la mobilité (AOM) se sont progressivement saisies de l’enjeu du développement de l’offre de mobilités partagées, en jouant un rôle d’organisation ou de régulation de ces activités.

Notre association a accompagné cette dynamique, notamment à l’occasion des discussions de la loi Grenelle, sur le label autopartage, ou encore sur l’encadrement du free-floating dans le cadre de la loi d’orientation des mobilités (LOM). En 2022, nos services ont mené une enquête auprès des collectivités adhérentes sur leurs politiques publiques en matière de véhicules en libre-service. Plus récemment, à l’initiative de la DGITM, de l’ADEME et du CEREMA, le GART co-anime des ateliers de réflexion afin d’élaborer, en concertation avec les territoires et les acteurs de la mobilité partagée, un plan national dont les premières orientations feront l’objet d’annonces du ministre délégué chargé des Transports et d’un calendrier de mise en œuvre au début de l’année 2025.

C’est dans cette perspective que le GART a auditionné l’Alliance des mobilités (Mobilians), l’Association des Acteurs du Vélo Public (AAVP), l’Association des Acteurs de l’Autopartage, la SPL Mobilité de Lyon et le Syndicat Autolib Vélib Métropole (SAVM).

Consulter le compte-rendu de ces auditions (contenu réservé aux adhérents du GART).

22 novembre 2024 – Crédit : Adobe Stock

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